Faction : Le Saint-Empire

Le Saint-Empire

Géographiquement tout d'abord, le Saint-Empire est d'une étendue très vaste... Il peut être appréhendée en 4 zones, de moins en moins civilisées et intégrées :

- la capitale, Garendorf.
- les autres villes, ou Grand Empire.
- les zones de campagne, ou Petit Empire.
- les bordures de l'Empire, frontières plus ou moins en rebellion.

Politiquement, le Saint-Empire est une théocratie dont le Dieu se nomme Mustis (il s'est banni de ce monde en même temps que les autres Dieux, mais les humains sont connu pour leur lenteur d'esprit sur les points théologiques ). Le Grand Prêtre est ainsi l'équivalent de L'Empereur. Son pouvoir se base sur l'élite de l'Empire, autant intellectuelle que guerrière : les Inquisiteurs.

Ces Inquisiteurs ne forment pas un corps de combat : ils sont un petit millier et servent plutôt de relais de pouvoir (ce sont des généraux, conseillers, ambassadeurs et ... inquisiteurs). Bien que très acharnés sur la religion des membres de l'Empire lorsqu'ils sont présents sur leur territoire (torture, etc...), les Inquisiteurs sont connus pour leur tolérance a l'égard des non-croyants lorsqu'ils sont à l'étranger, tolérance certes bien inférieure à l'orgueuil qu'ils ont de leur Saint-Empire et de leur
Dieu Mustis. Les Inquiqiteurs sont réellement aimé et admiré par la toute la population de l'Empire ( la propagande étant omsniprésente dans le quotidien impérial ) mis à part dans les régions frontalières où ils sont haïs plus que tout. On les reconnaît à leur costume d'appart, une longue robe rouge ainsi qu'a leur main droite dotée d'ongles en metal, terriblement dangereuse au corps à corps. Ils portent une autre marque de leur rang, étalage de richesse : d'imposantes bottines aux semelles ferrées. En plus de cela, ils recoivent un nom de famille commun à tous les inquisiteurs lors de leur entrée dans l'Ordre, évidemment Mustisson "fils de Mustis".
Les Inquisiteurs sont un ordre "actif", c'est à dire que ceux qui sont trop vieux ou impotents sont soit démis de leur fonction après un échec, soit assassiné par des rebelles ou par de potentiels successeurs. Ils sont donc nommés assez jeunes, et seuls les Inquisiteurs-ambassadeurs atteignent des âges "respectables".

La deuxième force du Saint-Empire est la noblesse. Très tentaculaire, elle découpe le territoire (hors capitale) en de nombreux districts et sous-districts, chacun avec une armée (ou milice) et des impôts
qui disparaissent au fur et à mesure que les seigneurs s'enrichissent. L'armée, en raison de l'étendue du Saint-Empire et de ses frontières instables, est ainsi assez importante ... et bien que lors de conflits importants, ce soient les Inquisiteurs qui prennent le commandement des armées, la noblesse reste une force prédominante. D'autant plus que le Saint-Empire, après une phase d'expansion est entré en décadence.

Le Saint-Empire a en effet du mal a contenir les raids d'orcs, de barbares et les rebellions incessantes des elfes sombres dont il controle le territoire. Il a donc ainsi du accepter l'arrivee d'elfes et d'orcs (peu nombreux certes) à l'interieur de son territoire, en tant que commerçants et/ou mercenaires. Ses relations vis a vis des villes-forges et du royaume elfe sont pourtant bonnes, mais il existe certainement une rivalité avec les Tela (pas de guerre pour autant). Un deuxieme indice de décadence plus ennuyant est le fait qu'un groupe d'une dizaine de nobles soutenu par un Inquisiteur puissant a, il y a peu, tenté de prendre le pouvoir. Cet putsch a heureusement échoué grâce à la bravoure d'une poignée d'Inquisiteurs, qui ont depuis tous été envoyé en ambassade loin de la capitale pour leur
éviter de se prendre des envies de pouvoir.

-Jouer un impérial-

Jouer un impérial c'est vivre dans un rêve qui s'éffonfre. C'est appartenir à un temps révolu. C'est vivre dans le passé, et refuser le futur. Vivre un impérial c'est aussi vivre dans une grande diversité, du simple paysans ou milicien, au puissant baron, prêtre, voir inquisiteur. Enfin jouer un Impérial, c'est se sentir écrasé sous le poid d'une administation croulante, avec chaque jour la peur de se faire ecraser par sa chute.