L'ambassade du Saint-Empire

Manantial sorti de l'ambassade dans le but d'aller voir Raoul...


(hrp : desolé je doit faire vite je relongerai ce post plus tard...)

" Le Grand Prêtre ne semble pas enclin à envoyer des hommes sans autres informations... Certaines révoltes ont demandé des repressions exemplaires... Je pense que vous mesurez tout autant que moi le besoin d'hommes ici, et que vous serez vous adresser convenablement à notre Grand Prêtre... "

Il est évident que Guillard fait implicitement allusion a un évènement de sa carrière peu reluisant, qui lui valut quelques mois de cachots suite à des propos... fort peu diplomatiques.

"Evidemment. Je réclamerai sitôt notre discussion achevée deux phalanges supplémentaires près de Raghamar. Et deux autres pour Miakj. Et un état officieux d'alerte général chez les Inquisiteurs sera proclamé. Je crains que les Telas n'aient conclu un marché mêlant Impardonnés et nains de Raghmar. Si tel est le cas, nous aurons surement besoin de l'intervention de la phalange Inquisitoriale... "

Une fois son élocution terminée, Altayre appelle son intendant pour lui demander de transmettre un message au Grand Prêtre contenant les requêtes précédemment énoncées, en plus d'alarmantes nouvelles concernant le coup d'état nain et l'instabilité en Raghmar.

"Vous seriez également gentil de transmettre à tous les Inquisiteurs un message de ma part leur demandant 'de se tenir prêt à toute éventualité'. Enfin, vous savez ... les termes habituels en cas d'urgence..."

Altayre congédie son intendant et reprend la parole.

"Les temps sont durs en effet. Le Saint-Empire a connu des jours plus pieux."

"Il est sur que les Inquisiteurs seront prêt à se rassembler si j'en donne l'ordre. La discipline que vous aimez tant fait parti intégrante de la foi Inquisitoriale. Par contre, j'espere que le Grand Prêtre tiendra compte de ma demande de phalanges supplémentaires. Enfin, un demande du Grand Maître de La Très Sainte Inquisition pour les deux meilleurs généraux de l'Empire, il devra bien répondre quelquechose..."

C'est un homme en sueur qui rentre alors, sans frapper, un intendant mécontent le suivant, protestant contre son manque de manière. Le nouvel arrivant semble épuisé, et dans sa main, une petite enveloppe au teint crême qu'il tend à Guillard. Celui-ci s'en saisit au plus tôt, et blêmit quelque peu en en faisant la lecture... Avant de finalement prononcer..

"Altayre... je crois que Mustis veut nous eprouver... Il déglutit difficilement... ... rudement..."

Le regard d'Altayre se durcit lorsque Guillard prononce le Saint Nom de Mustis.


*A l'invoquer sans cesse, Mustis ne signifiera bientôt plus rien...*

L'air plus que troublé du général fait néanmoins redescendre les pensées d'Altayre du métaphysique vers le pratique. Une voix, comme d'habitude posée et rassurante, franchit ses lèvres.

"Qu'y a-t-il ?"

"Et bien... pour faire vite, Miakj est assiégée, sur le point de tomber... de nombreux villages de moindre importance ne sont plus... et l'on parle de colonnes en marche vers Lemas...
Des... Impardonnés, en nombre important...
Il nous faut prévenir la Capitale au plus vite. Et partir vers Miakj pour briser le siège."

Glissant une main sur son menton, Guillard deplace à nouveau ses doigts sur la carte...
"Oui... Je vais lassier es directives ici, je ne sais pas quels sont vos projets, mais ma présence semble recquise... au plus vite."

"La capitale sera prévenue, et les troupes que j'ai fait réclamer arriveront sans tarder.
Puisque vous êtes appelé, partez général Guillard. Que Mustis conduise votre chemin et fasse, par nos mains, rejaillir Sa Gloire sur Son Saint-Empire.
Je resterais ici pour coordoner quelque peu nos forces, et pour pouvoir rassembler la phalange inquisitoriale au plus vite si le besoin s'en fait sentir.

Que Mustis vous guide en ces durs temps!"

La jeune femme, comprenant que sont comportement est complètement débile et irésoné, se retourne alors vers l'intendant qui l'avait suivit, trouvant le comportement de Manantial inabituel.

-veuillez m'escuser pour cet arrivée quelque peut étrange... Je doit m'en aller immédiatement. Voulez vous, je vous pris, dire à l'embassadeur que je suis partie et que je le remerci de tous coeur de son ospitalité?

L'intendant quelque peut surpris s'eclipsa après avoir promis à la jeune femme de faire suivre sa demande.

Quand à elle, Manantial se dirigeat vers sa chambre où elle remis ses habits de voyage et fit ses bagages qui sont bien mince... Elle se dirigea vers l'écurie où elle scela sont cheval avant de partir au galop...


Si Altayre eut la curiosité d'aller dans la chambre de la femme il y aurait trouvé une lettre :

Lorsque Aliénor arrive à l'ambassade, elle descend de cheval, demande à un employé de s'en occuper et rentre à l'intérieur du bâtiment. Au fond la jeune femme aperçoit son vieux compagnon et s'approche de lui avec un air ironique :

-Bonjour cher intendant comment allez vous? Les nouvelles nouvelles sont-elles bonnes en Raghmar?

Au début l'homme parait surpris, puis après avoir reconnu Aliénor son visage affiche un sourire...

-Et bien jeune impériale pour ma part le monde avance et tourne. Quand à ce qui se passe en Raghmar je vous conseillerai d'en parler avec Altayre. Je vois à votre visage que vous auriez aimé le voir ici présent mais il n'est pas là pour le moment. Vous pouvez le rejoindre à une auberge du nom l'orc baveux si je ne me trompe pas...

Une fois que l'intendant lui eut expliqué le chemin de l'auberge l'impériale y alla, à pied...