L’ambassade elfe

Edhel pénétra dans la cour de sa nouvelle ambassade. Celle-ci était constitué d’un bâtiment rectangulaire muni d’un beffroi. La porte principale donnait sur une petite coure entouré de jardins. L’ambassade était située dans les quartiers riche de la ville, près des habitations bourgeoise. Edhel rentra ensuite dans le grand Hall, richement décoré. Il donnait sur trois portes en argent. La première menait aux appartements de l’ambassadeur, elle était située à gauche de l’entré du Hall. La deuxième quand à elle menait à la salle à manger et aux cuisines. Derrière cette porte, on recevait les personnes importantes pendant les jours de fête. Enfin la troisième porte, celle située en face de l’entrée, débouchait sur les bureaux de l’ambassade, là ou ceux désirant les services de l’ambassadeur doivent se présenter. Toutes les pièces de l’ambassade étaient richement décoré, sans nul doute que le fils du roi avait dépensé une fortune.

Les lois et règles de l’ambassade. (annonce de l’ambassadeur)

L’ambassade à pour but de représenter son royaume auprès des dirigeants de la ville. L’ambassadeur est donc charger de :

-veiller sur le bon déroulement du commerce, surtout celui du minerai pour les besoin du royaume.
-être la parole d’Elendôr en cas de décision importante prise par la ville sur une politique étrangère.
-veiller sur la population elfes qui vit à la ville. Tout elfe demandant asile à l’ambassade sera sous la protection de celle-ci. Seul le grand prêtre pourra alors le juger.
-faire office de messager entre la ville et le royaume d’Elendôr.

IMPORTANT : Pour avoir un droit d’asile, allez vous recenser aux bureaux de l’ambassade. Tout elfe non-recensé ne pourra pas jouire du droit d’asile !

L'entrée de Raoul dans l'enceinte de l'ambassade ne se fit pas discretement. Bien entendu, les elfs, soucieux d'une certaine neutralité envers les Orc des monts rouges, ne s'opposèrent pas à ce qu'il entre, mais il sentait sur lui se poser des regards inquietants.

Raoul resta un moment à contempler le luxe de l'ambassade. La richesse des décorations et la finesse des feuilles d'or qui recouvraient la pluspart des murs aviverent en lui un soupçon de cupidité. Concient des interrogations elfs, il se hata de frapper à la troisieme porte.

Un Elf, à la longue chevelure grise et au corp faible, était assis derriere un bureau doré, une plume de paon à la main, écrivant sur un parchemin d'un vert flambant.

"Bonjour, je me nomme Raoul, je suis gerant d'une hauberge en ville. J'ai reçu l'ambassadeur Edhel cette nuit même, et certain faits inquietants me poussent à entrer en contact avec lui, aussi je souhaiterais le rencontrer"

L'employé sembla à la fois curieux et amusé, il ne savait s'il devait prendre au serieux les paroles d'un Orc.

(ok ok je m'exuse...)

L'intendant elfe :

"Hum, l'ambassadeur est allé sur la Haute place jeune homme. Si vous vous dépêchez, vous pourrez peut-être le remcontrer. Sinon vous pouvez toujours lui laisser un message, il vous répondera peut être..."

Je vous remercie, j'essaierai de le rattraper.

Edhel traversa en coup de vent le grand Hall et monta dans ses appartements. Là, il prit son épée Gurancôr et de petites provision.
Il redescendis et previent l'intendant qu'il ne serai pas de retour au moin avant deux jours et sur ce, il reparti en direction de la taverne de Raoul.

C'est un sinistre individu qui entre dans l'ambassade, son visage masqué sous le capuchon de son ample manteau anthracite. Pourtant il tourne le visage comme si il pouvait voir à travers l'étoffe, avant de lentement progresser vers l'intendant, sans prononcer mot pour l'instant.

(Ouf, le forum commencait à mourir...)

L'intendant elfe :

"C'est pour quoi? L'ambassadeur n'est pas là pour le moment, repassez plus tard, il vous écoutera sûrement..."

Sans prêter plus d'attention au visiteur, il mis son attention dans ses parchemins...

Il se relève alors de toute son impressionante hauteur. Une voix distante, un souffle sec qui s'échappe de ses lèvres.

"Absent ? Amusant, où peut donc s'égarer notre si vite venu et si vite parti ambassadeur ? "

"Travail que vous effectuez merveilleusement, avec peut être un peu trop de zèle peut-être..."

Il n'en dit pas plus, cultivant comme à son habitude son amour de l'implicite, accompagnant donc ces mots de la voix ironique qu'il se plait souvent à employer.

"Un grand merci donc... et la bonne journée à vous. "

Et le voilà qui repart, bien plus fourni qu'il ne le pensait être.

Edhel rentra précipitement dans l'ambassade très énèrvé mais toutefois inquiet de la tournure que prenait les évènements. Dehors, une véritable révolution était en train de se soulever.

Il dit à ses gardes et aux membres de son ambassade :

"Vite baricadez vous et ne laissez passer personne c'est compri? Les choses ne se sont pas passé tèl que je les avaient prévu. Les conséquences se répercutent dans toute la ville. Envoyez un messager auprès du royaume, prouve le prévenir des évènements présent. »

Il repartit alors après ses quelques recomandation en direction de la haute place.

Alors qu'Edhel repartait, une main l'agrippa.
Il se retourna et vit une jeune femme très joli, mais qui semblait menaçante.
"-Bonjour, seigneur Edhel, dit-elle. Mon maitre Borislehachoir serait contrarié d'apprendre que vous vous mélez de choses qui ne vous regarde pas. Laissez-nous régler ça, je vous prie."

La jeune femme lacha Edhel, et reparti comme elle était venue : sans un bruit.

Edhel répondit pour lui-même, d'une voie agacé :

"Je n'ai que faire de votre maitre odieu et impotant. Si il a quelque chose à me dire qu'il vienne en personne et peut être que je dédaignerai à lui parler. Enfin bref, je ferai comme si il n'existait pas, décidément ce grain de sel m'exaspère..."

Avant de quitter définitivement Edhel, Karina ajouta :

"-Je vous aurait prévenu. Mais demandez à Dziadko pourquoi une cicatrice lui couvre tout le visage : quand on sous-estime un adversaire, c'est souvent fatal.
Et j'espère pour vous que nous ne nous recroiserons pas".

Karina quitta l'ambassade en se demandant combien de temps se passerait avant que Boris ne perde patience.

Edhel et Raoul entrèrent dans le hall de l'ambassade.

"Attend moi là, je n'en ait pas pour longtemps."

L'elfe se dirigea ensuite vers le bureau de l'intendant. Les paroles dites dans cette pièce restèrent secrète puis, quelque minutes plus tard Edhel ressorti et emmena Raoul dans ces appartement.

"Je garde dans un coffre tout objets suseptible de m'être utile au cours de mes voyages. Ceci par exemple, une corde elfique, aussi solide que légère, tient je te la donne, je pense qu'elle te sera utile. Autre chose encors, c'est une fiole qui contient un de ces feu qui ilumine le ciel. Elle te réchaufera ou que tu soi, même dans les endroits les plus glacé d'Eka. Sinon je peux te proposer des heaumes elfique, des tenues en soie légère ou bien encors des boucliers ou tout autre protections légère. Je te laisse faire ton choix."

"Vous m'honnerez vraiment de ces présents. Ils me seront d'une grande utilité, je l'espere, et je les accepte avec joie. Cependant, je crois que mon ignorance en la matiere n'a pas de limite, et j'ignore ce que je dois emporter de plus basique. Je ne vous demande pas de me le fournir, mais si vous pouviez juste m'énumerer les bases ?

"La seule fois que j'ai voyagé, je n'avais presque rien. Allons nous faire de même ? Dois-je emporter des vivres ? Me procurer une monture ? Je tiens à garder une certaine mobilité, je ne prefere pas m'encombrer d'armures."

"Hum, dans ce cas là, mieux faut se procurer un cheval en effet. Les distances que nous parcourerons seront grandes. Je pourrais te le fournir. Pour les vivres, emporte de quoi tenir quelques jours, cinqs tout au plus, nous nous ravitaillerons en chemin. Un briquet acajou est très utile, même indispensable. Prévois une sacoche, ou te rangera tes vivres, ton briquet et tes affaires personnelles. Ne soit pas trop chargé, sa ne t'aidera en rien. Pour les vêtements, je crois que tu peux garder ceux-là. Il faut juste éviter les habits crillard ou les cuirasses mais cela me semble évident. Je te conseil d'être en forme le jour du départ car une longue route nous attend. Voilà, je crois t'avoir tout dis. Maais si tu a d'autres questions, n'hésite pas."

"Bien, je m'équiperai comme tel.

Je n'ai pas de monture, et ne comptant pas m'en procurer, j'apprecierais que vous m'en pretiez.

Pour le briquet, ne vous inquiétez pas j'ai ce qu'il me faut !"

"Alors nous ferons comme tel. J'apporterais votre monture le jour du départ même."

Edhel racompagna ensuite Raoul au dehors de l'ambassade puis après un au-revoir, remonta dans ses appartements prendre du repos avant les lourdes tâches administratives qui l'attendaient.

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Revêtu d'une cape ocre sombre, Raoul s'approche de l'ambassade Elf.
Son visage d'un rouge léger, envelopé dans la capuche de tissu, se confond presque avec celle-ci, laissant, à celui qui le regarde, l'impression pendant quelques secondes qu'il n'y a âme qui vive dans la silhouette.
L'Orc a endossé un sac à dos de la même couleur que son habit, dans lequel on voit le manche de sa hache depasser. Une large casserolle est pendue au sac par le manche, et entoure l'espace d'un leger tintement à chaque pas. Une corde est attachée de l'autre côté du sac, étonnement brillante, presque dorée.
Le pas de l'Orc, maladroitement prétendu naturel, est lourd. Marchant à grandes enjambées, un bruit sourd mais puissant se fait entendre à chaque fois qu'une de ses bottes de facture douteuse se pose sur le sol. Son souffle est court : bien qu'il ne fasse pas d'éffort physique, sa non-accoutumance aux voyages augmente de minutes en minutes ses apprehensions, pour se transformer en une quasi-panique, qui l'empêche de réspirer calmement.
Ceci explique aussi qu'il n'y ait personne quand il arrive devant l'ambassade : Raoul est probablement arrivé plus d'une heure avant le rendez-vous. Il n'ose entrer dans l'ambassade, ce qui attirerait encore plus les regards sur lui. Il se dirige donc vers un coin de ruelle où l'ombre lui permettra de rester discret, et où il pourra tenter de se reposer quelques minutes, calmer ses inquiétudes... Il s'adosse donc contre le mur de pierre d'une maison adjacente, et enlevant sa capuche, regarde vaguement l'entrée de l'ambassade, attendant ses compagnons.

Mervan arriva une demi-heure après Raoul.
Mervan(il sourit)-J'ai l'impression que nous traversons une bien morne époque...nous avons l'intention de quitter la moribonde ville de Raghmar pour nous approcher de la verité...et nous ne sommes que deux...(il soupir)les hommes et les nains se complaisent dans l'enfermement des cités et dans la répetitivitée de leur existence...Nos deux peuples n'ont peut être pas toujours été amis mon cher mais nous,les elfes, partageons au moins notre gout de l'aventure avec vous,les orcs

Raoul se relève et salue l'Elf

Dans ce cas je ne suis malheuresement pas le meilleur interlocuteur auquel vous pourriez vous adresser : je reconnais que ce n'est commun aux gens de ma race, mais l'aventure est une chose à laquelle je n'avais jamais aspiré, et qui ne m'avait jamais attiré. Maintenant je n'ai pas eu de choix, cette expedition pourra toujours me fixer sur le rôle de l'aventure ; je suis donc resigné.

Ne vous inquietez pas pour le nombre, nous sommes encore en avance.

Mervan-mais tout le monde est forcé par l'aventure...tout le monde se rend bien compte depuis longtemps que l'hegemonie naine est un fleau pour Eka...c'est seulement que tout le monde fuit,tout le monde ferme les yeux et se dit:"Non je ne me battrai pas,il y a des aventuriers,des heros,des dieux pour cela...mon rôle n'est pas de résister,mon rôle ne me permet que de subir!"...(il regarde Raoul avec gravité et lui pose une main sur l'épaule)vous avez eut le choix Raoul,vous auriez put vous detourner de l'aventure et vous diriger vers la lacheté!Vous n'avez pas eut le choix dites vous?????Je dirais plutôt que vous l'avez éludé et que c'est peut être cele qui fera de vous un heros!

A ce moment Manantial arriva

-Bonjour à vous, je vois que nous ne sommes que trois pour le moment.

Sur son cheval, blanc comme la neige, reposait des sacoches qui étaient légèrement chargées. On ne pouvait voir son épée (ce qui étonna sûrement les deux voyageurs) car elle ne l'a portait pas mais l'avait cachée sous sa selle. Une corde était aussi accrochée à cette-dernière.

Elle regarda Raoul et dit d'un air surpris mais compréhensif:

-Vous m'avez l'air bien anxieux Raoul ou est-ce le fruit de mon imagination?

Mervan-(il la salut)ma cher si nous croisons des brigants sur la route il serait fort judicieux que vous leur indiquiez votre épée d'une façon plus ostentatoire,voyez vous un armement comminatoire éloigne beaucoup plus facilement la violence qu'une réelle aptitude au combat...
D'autant plus que vous serez bien plus prompte à brandir votre arme...(il sourit)et bien plus à l'aise sur votre monture!