A l'Orc Baveux

L'orc Baveux est une taverne située Place Publique de la Ville Force de Raghmar. De l'exterieur, on distingue un écritau representant un orc portant à sa bouche une immense choppe de biere. Son interieur présente une vaste salle, dans laquelle de nombreuses tables de bois touchent presque le plafond bas qui les surplombent. Des piliers, auxquels des torches éclairant la pièce sont accrochées, maintiennent l'édifice. Au bout de la salle, sur le mur opposé de celui de la porte, se trouve le comptoir. Raoul l'Orc y prépare les diverses boissons demandées par les clients. Près de Raoul, un autre Orc, Tal'Ohar, un colosse (les Orcs étant déja robuste de nature, imaginez vous un colosse!), bien qu'indisposé par la faible hauteur du plafond, s'efforce d'acheminer les boissons demandées par les clients aux diverses tables. Il règne dans la pièce une odeur acre de torches qui se consument, et l'odeur d'alcool qui se dégage constamment des boissons des clients, ainsi que de l'arriere boutique, où Raoul stock ses productions.

Le gerant apostrophe certain clients qui entrent

-Entrez entrez! Venez gouter à mon Hydromel! Que l'Orc Baveux vous permette de perdre un peu votre esprit dans cette ville surpeuplée ! Relaxez vous et buvez chers amis !

Edhel rentra dans le lieu indiqué par le nain. Il rabaissa sa capuche, découvrant da chevelure doré et s'avanca vers le tavernier.

*Un orc, c'est bien ma veine, enfin, éspèront qu'il n'est pas comme ses congénèrent...*

"Salut tavernier, sert moi une de tes bières, j'ai grand soif. Dis moi, il fait toujours aussi mauvais temps ici ???"

Edhel regarda par la fenêtre, la pluie avait redoublé d'intensité....

Bien le bonjour, seigneur elf !

Pour le mauvais temps, disons qu'il caractérise l'humeur des habitants. Donc, effectivement, il est plustôt grisâtre.

Raoul se tourne vers Tal'Ohar Ola toi! cherche donc de la biere pour ce voyageur !

Je suis ravi de voir un elf dans mon auberge, sachez le ! Peut être connaissez vous le seigneur Ribbak ? Je lui dois beaucoup, aussi permettez moi de vous offrir ces quelques boissons en l'honneur de la noblesse de votre race.

Passerrez vous la nuit en ce lieu ? Peut-être puis-je vous être utile en quelque façons ? Je connais beaucoup d'histoires de voyageurs !

*Edhel remonte les orcs dans son estime, enfin pas tous quand même. Et puis mieux vaut se faire des amis que des enemis*

"Une chambre m'arrangerai bien, dis moi le prix pour une nuit ca je ne rèsterait guère plus, j'ai un poste d'ambassadeur qui m'attent. Comme tu m'a l'air bien brave, je te reprendrai bien encors de ta bière, ca me fera oublier ce mauvais temps."

Edhel s'asseya à une table, le visage satisfait et serein pour les évènements à venir...

*sourit*

De la biere, autant que vous en voudrez, ce n'est pas celà qui manque. Cependant ne m'accusez guere des consequences.

*redevient serieux*

Une chambre pour la nuit vous coutera 5 ecus.

*s'interroge sur la présence d'un ambassadeur elf à Ville-Forge Raghmar, la présence d'un ambassadeur signifie surement quelque congrès en haut lieu. Je serai attentif à toute information.*

*Apporte son repas et de la bière à l'ambassadeur*

Edhel paya la somme indiqué par l'orc et monta de suite dans sa chambre après avoir dis un vague bonsoir.

Le lendemain matin, il decsendis tôt dans la taverne. Le tavernier était visiblement toujours endormi et la salle était déserte. Sur une table, quelqu'un avait posé une lettre en destination d'Edhel. L'interessé l'ouvrit et lut ceci :

"Veuillez vous rendre à la Haute place au plus vite."

La ville.

Un sceau, sans doute celui de la ville, cachetait la lettre.
Ceci restait bien vague. Edhel sorti donc et parti en direction du lieu indiqué dans la lettre.

(y'a que Raoul et moi qui jouon c pas marrant. C'est bien de créer des choses pour le forum mais la meilleur façon de savoir si c'est bien, c'est encors d'y jouer.....)

Raoul se leva, matinal, comme à son habitude. Aussi quelle ne fut pas sa surprise quand il découvrit que la chambre occupée cette nuit par ce dernier était vide.

Il descendit l'escalier, visiblement l'ambadassadeur était parti tot ce matin, sans même consommer un seul repas.

Il put cependant discerner une autre présence, un voyageur, non client de la taverne était lui aussi entré dans la salle dans la matiné. La porte pourtant était restée bien fermée, et Tal'Ohar n'aurait eu aucune raison de l'ouvrir.

Soucieux de comprendre ce qui s'était passé dans son établissement, Raoul confia la taverne à Tal'Ohar pour la matinée, et pris le chemin de l'ambassade elfique.

Edhel rentra dans la taverne précipitement.

"Me voilà enfin. Nous partirons quand tu le voudra. J'ai amené quelques provisions, on ne sait jamais. Au fait, dans quels quartiers on va exactement? Bon avant de partir, prenons une bière, je paye la tournée."

Edhel sorti les pièces de sa bourse et en donna quelques une à Raoul.

Nous allons dans les "Les quartiers mal famés", comme on les appelle. Ils se trouvent à l'Est de la ville, ce sont les quartiers pauvres, où vit surement l'homme que nous cherchons, si les soupçons que nous lui portons se revelent vrais. Cependant, s'il est probable que ce soit cet homme de bas niveau que nous recherchont, il n'est pas certain qu'il n'ait pas reçu d'ordre venant de personnes plus haut placées, qui seraient dans ce cas bien plus dures à démasquer.


[HRP : il faudra un GM pour animer les PNJ des quartier mal famés, sinon la quête n'aura pas d'interêt ]

Edit de Dared : J'y veillerai : )

"Parfait, et nous n'avons plus qu'à partir. Tu sera mon guide et mon associé Raoul."

Edhel sorti avec son compagnon dans la rue maintenant déserte. Il faisait nuit depuis longtemps déjà et un léger vent souflait. Ils s'engagèrent dans la nuit, Edhel suivant Raoul.

L'Orc décrocha d'un mur une cape poussiereuse d'un bleu sombre. Il emporta un sac, rempli de quelques vivres ainsi que quelques objets, et une petite hache (par rapport à l'Orc bien entendu)

Il s'engagea parmis le labyrinthe que formait les ruelles de la ville, l'Elf marchait d'un pas gracieux et hautain, propre à sa race, à sa suite.
Les deux compagnons étaient vétu discretement.

Raoul s'arrêta au croisement d'une large rue. Du quartier d'en face parvenaient des clameurs d'ivrognes, des cris de disputes, et des relans d'alcool. L'Orc se tourna et s'adressa à l'Elf.

"Monsieur, je vous pris de ne point vous vexer, j'ai conscience de l'impertinence, de l'indelicatesse que va contenir mais remarque, mais elle est pourtant nécessaire. Je vous prie de marcher du pas le plus naturel possible, voire le plus mauvais. Il faut que votre attitude soit la plus proche possible de celle du bas peuple. Si les gens connaissaient votre rang, nous ne serions pas en danger direct, mais celà augmenterait les risques. Il faut aussi noter que les personnes tiers, auprès desquelles nous allons mener notre enquête, méprisent la haute société. Connaître votre rang les rendra moins loquaces. Je vous prie donc, s'il vous plait, de suivre mon conseil.

"Le quartier dans lequel nous penetrons regorge de tous les filous de la ville. Y pénêtrer peut s'averer dangereux, voire mortel. Aussi il nous faudra à tout instant prendre gare à nos paroles, à nos gestes. Il faut s'avoir que s'il y a un complot contre vous ou votre ambassade qui est né ici, nous le saurons forcement. L'alcool à l'avantage de permettre la divulgation des informations, aussi je vous prie de constater le caractère utile de cette faculté du breuvage dans notre cas précis : fouillons les auberges!

"Peut-être ne trouverons nous pas notre cible dans l'une d'elles, mais elles sont une source sûre d'informations !"

Raoul entra dans l'auberge, en compagnie d'une jeune femme qui semblait effrayée. Tal'Ohar le salua. Ils echangerent quelque mots, puis Raoul partit. Tal'Ohar souleva une lourde trappe située derriere le comptoir, y précipita la jeune femme qui ne se débattait pas, résignée. La lourde trappe se refermit, l'obscurité envahtit la vaste cave de l'auberge où planait une odeur de moisissure.

A travers la trappe, des sanglots venaient se perdrent dans le vacarme des clients prenant leur repas, nullement attentif à la scene qui venait de se passer près d'eux.

Un gobelin et un nain entrèrent dans l'auberge.

-Bonjour, Raoul. Je suis Borislehachoir, roi des gobelins de Gamblag, et voici mon garde du corps, Nimplabbow. Je suis venu vous offrir une alliance entre mon peuple et vous. Et accessoirement, je prendrais bien une bière. Qu'en pensez vous ?

L'Orc massif regarda le gobelin.

Je ne suis pas Raoul, je suis Tal'Ohar.

Raoul est parti dans les quartiers sombres de cette cité, cependant je lui ferait part de votre visite à son retour.

Tal'Ohar, en parlant, rempli une immense choppe de biere et la donna au gobelin

Le gobelin prit sa bière et regarda le tavernier :

-Très bien, mais dites-lui aussi de cesser ses explorations. Deux de mes amis s'en occupent, et il serait facheux qu'ils se rencontrent. Mes hommes sont des professionels.
Je reviendrai ici prochainement.

Borislehachoir et Nimplabbow sortirent de la taverne, puis le gobelin se tourna vers le nain :
-Numéro 2 et numéro 5 sont en danger. On va leur envoyer quelqu'un à la rescousse.
-Numéro 7 ferait-il l'affaire ?
-Hum....pas vraiment,mais on a pas le temps. Va pour numéro 7.

Les deux gobelins n'étaient pas au courant de la non-furtivité qu'offrait l'auberge. [hrp: cf page de menbre,

Citation :

l'écoute furtive des clients de sa taverne

/hrp]
A ces paroles, Tal'Ohar s'empressa de verifier que sa captive n'avait pas bougé, et de verifier qu'il n'y avait aucune preuve des actes qu'était en train d'accomplir son employeur et ami.

Raoul et Tal'Ohar rentrèrent extenué et horrifiés de la bataille.
Un tonneau de biere artisanale, portant l'inscription "maison" fut mis en perce pour remettre les deux compagnons de leures émotions.

Ils rangerent consciencieusement la salle qui était restée vide pendant quelques jours, dépoussierèrent les chambres et aerèrent les pièces. L'auberge était de nouveau prête à fonctionner.

Salut à toi Raoul."

Edhel avait prononcé ces mots alors que l'orc était en pleine agitation domestique. Un bref sourir se dessina à la réaction de l'orc. Avant que celui-ci ne prononça un mot, Edhel poursuivit.

"J'ai apris que quelques ragots me concernaient, plus particulièrement sur ma sois-disante mort. Il est vrai qu'après la débandade des rebelles et leurs pièges meurtriers, je me suis quelque peu volatilisé. En fait je n'ai tout simplement que suivit un autre chemin, celui d'un mage plus particulièrement, et j'ai découvère des choses très interessantes. Si tu es d’accord, nous partirons dans une semaine en dehors de la ville. nJe te mènerais à un endroit des plus insolite. Surtout n’en parle à personne, cela doit impérativement rester secret. Je n’ai pas envie que ce Borislehachoir et ses lèches-bottes viennent trainer dans nos affaires. Tu as une semaine pour te préparer. Nous quiterons ensuite cette ville qui commence à pourrir de l’intérieur. Je te dirais plus de détails le moment venu.

Raoul pensait être un pacifique. Une vie simple lui semblait la plus saine qu'il puisse avoir. Il avait toujours su rester jovial en tant que simple gérant d'une auberge médiocre.

Pourtant, il sentit en lui une joie énorme quand son ami lui fit part de sa proposition.

"J'accepte bien entendu !"

Il se tourna vers Tal'Ohar : "Désolé mon vieux, il en faut bien un qui garde l'auberge non ?"
Cependant il ne put s'empêcher : "Si une autre révolte devait se produire, et que l'auberge soit la cible de quelques brigand, fuis, entends-tu ?"

Tal'Ohar ne répondit pas. Raoul commença à reflechir aux préparatifs.

Il ouvrit la trappe située derriere le comptoir, descendit dans la cave. On entendit une porte, probablement d'acier, pivoter en grinçant. Raoul remonta avec une bourse de pièces dans la main.

"Quelque chose a réellement changé dans ma vie ces derniers temps. Je crois avoir pris goût à l'aventure.

"Aurai-je besoin d'une monture ? S'il le faut j'irai en acheter une de ce pas.

"Je m'en vais aiguiser ma hache. Je n'aime pas m'en servir, mais parfois nous n'avons pas le choix, n'est ce pas ?"

"Maintenant pouvez-vous me dire en quoi consiste votre empressement?"

Tal'Ohar accueilli son ami et le personnage qui l'accompagnait. Ne voyant pas son visage et n'ayant pas entendu sa voix, il lui adressa un maladroit "Bonjour monsieur."

Raoul s'excusa pour lui, sans oser demander pourquoi Manantial réstait couverte.

"Je suppose que vous n'avez pas eu vent des nouvelles de Raghmar ? Il semble effectivement que les nains, maîtres des villes forges, et donc de Raghmar, préferent taire cette histoire. Cependant, à vouloir tout cacher, on laisse les rumeurs vagabonder et s'amplifier, je ne sais pas si au final la transparence ne serait pas un meilleur choix.

Tal'Ohar apporta de la biere
Après avoir bu une longue gorgée, Raoul reprit :

"Il y a peu de temps, plusieurs personnes tenterent d'enquêter sur une inquiétante bande de brigands. Ainsi, des groupes partirent en exploration dans les bas quartiers de cette ville. Tout le monde pensait alors que des groupes de deux suffiraient à survivre. Pourtant, quand des informations précises eurent été découvertes, tout s'embrasa, et le réseau suspecté se montra au grand jour : ce n'était pas 10, 20 ni même 100 hommes, mais surement plus d'un demi-millier !

"C'était la premiere fois, je pense, depuis fort longtemps, qu'une telle révolte fut conduite dans Raghmar. Les autorités naines, d'habitude si fieres, durent faire appel aux autres guerriers de la ville, pour proteger une place forte importante à l'Est de la ville.

"Le combat y fit rage. Mais il y eu quelque chose de plus que surprenant : la révolte semblait s'apaiser, et les combatants commençaient à reculer. C'est alors qu'un capitaine nain fut abattu par trois nécromanciens. Ce fut avec une nouvelle ardeur que les rebelles reprirent le combat. Les forces semblaient de nouveau à égalité, et pourtant, à un cri perçant de rapace, semblable à celui que vous avez entendu tout à l'heure, les brigands prirent la fuite, sans qu'il soit possible des les poursuivre.

"Je ne pense pas que la ville sera en danger dans les prochains jours : les rebelles, devant agir dans l'obscurité, mettront surement plus longtemps que les défenseurs de Raghmar pour retrouver leur puissance.

"Mais tout à l'heure, sur la place, j'ai vu ces artistes sur l'estrade. Je ne doute pas de leur talent, mais leur habit rappellait celui des rebelles. Et le plus étrange fut le cri de rapace, suivit de la fuite de plusieurs hommes. Je pense qu'il se passera quelque chose d'important sur la place publique, peut être même avant demain !"

"Ici nous sommes à l'abri pour le moment : vous voyez la stature de mon cammarade ? Il est très... dissuasif, quand il est attaqué. Cependant il nous faudrait prévenir des hommes plus haut placés.

"Je n'ai pas le statut social nécessaire à une potentielle crédibilité. Cependant, j'ai des amis qui pourraient parler en mon nom. Mais ils se trouvent dans la demeure du régent nain en Raghmar, Arak Akim. Y aller serait possible, mais comment y entrer ? Vous semblez faire preuve d'une grande dexterité. Si vous laissiez votre cheval dans mon auberge, vous pourriez m'aider à contacter Edhel, ambassadeur Elf à Raghmar ?"

"A vrai dire votre histoire m'intrigue. J'accepte donc de vous suivre."
Ils finirent leurs bière et sortir instaler le cheval dans les écuries puis disparurent dans la foule.

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Raoul explique brievement la situation à Tal'Ohar :

Une réunion de substitution, plus neutre, devait maintenant se tenir ici à la place de celle organisée dans l'ambassade naine.

Tal'Ohar fut quelque peu étonné que son ami aie accepté une telle réunion : il était d'ordinaire neutre, preferant une vie calme. Mais il reconnut lui même que les circonstances s'aggravaient quand Raoul lui fit le récit de l'assassinat de Arak Akim par les autorités naines, sans la moindre pudeur de leur part.

Les deux orcs préparerent rapidement la salle : Tal'Ohar alla chercher deux gros futs, l'un contenant de la biere, pour les bons vivants, l'autre de l'hydromel, pour les plus policés. Ils décallerent les tables de façon à qu'elles fassent un cercle, et Raoul réajusta l'eclairage.

Il alla ensuite derriere son comptoir. Pour patienter, il regarda rapidement dans la caisse : il s'aperçut que si les aventures l'avaient completement obnubilé ces derniers temps, ce n'était surement pas au profit des finances, et que bien qu'il aie, dans la cave, des économies pour surement plus d'une année, il lui fallait tout de même se soucier de faire tourner l'auberge.

C'est dans cet état d'esprit qu'il fixa à la porte l'écriteau "Fermé toute la soirée pour cause exceptionnelle. Pour contact passer par l'arriere boutique".

Il souffla la lanterne qui éclairait la façade de la taverne, pour ne laisser qu'une minuscule chandelle protegée du vent sous une cloche de verre, fixée au dessus de l'arche surplombant la porte, éclairant ainsi l'écriteau.

Un homme vêtu d'une longue cape noire et d'une capuche qui place son visage dans l'ombre pénètre dans l'auberge.
Ireconnaissble est Altayre sans son costume d'apparat. Ses légère bottines de cuir ne font pas de claquement sec sur le sol en pierre, et aucun curieux ne regarde avec un air effaré sa main droite.
Son épée courte de Grand Maître de l'Inquisition est pourtant sur lui, prête à servir en cas d'agression... mais ça, personne sauf lui ne le sait.

S'approchant de R4oul qui le regarde d'un air un peu surpris, le confondant peut-être avec un membres des factions rebelles, Altayre soulève très légèrement sa capuche pour permettre uniquement à l'orc d'apercevoir son visage.

"Bien, je suis ravi que vous soyez venu. Vous pouvez oter votre capuche : nous sommes seul avec Tal'Ohar, en qui nous pouvons avoir toute confiance. Aucune personne indesirable ne parviendra à entrer : la seule entrée non condamnée est l'arriere boutique et dorénavent, Tal'Ohar sera en faction en son travers pour éviter quelconque intrusion. Et quand bien même il s'en produirait une, je serais en moyen, aussi puissant soit l'intru, de le savoir avant même qu'il parvienne ici.

Les circonstances ne s'y pretent peut être pas, mais en attendant que les autres viennent ; et ils viendront, j'en suis certain ; laissez-moi vous offrir quelque chose à boire : malgré votre stature, je pense que la journée a été lourde de rebondissements, et croyez moi, mes bruvages ont contre ce mal des vertus curatives méconnues."